Biographie de Christophe Godret
Godret christophe est né le 5 juillet 1972 a Mont Saint Martin en Meurthe et Moselle.
A une dizaine d’années, il s’inscrit à la bibliothèque de son quartier et pour satisfaire à son voeu non moins légitime que menaçant, il s’initie au dessin. Apprenez qu’il n’a pas de plaisirs aussi doux pendant quelques temps. Mais par bien des dessins, pour l’apprendre à son tour, il s’en éloigne pour emprunter d’autres chemins, à chaque détail les siens.
Les liens vieillissent à chaque fois que l’envie s’impose autre part.
Il joue au foot à coté de chez lui, s’inscrit à un club de Tennis et de Handball. Il devient champion de Lorraine de Handball en cadet dans son club a Longwy, sa ville natale. Redoublant sa troisième à 16 ans, il s’inscrit à un concours pour être dessinateur maquettiste mais il n’est pas reçu, manquant d’expérience professionnelle. Il abandonne le dessin pour une formation commerciale qui durera 4 ans. Il échouera quelques semaines avant de passer son Baccalauréat Professionnel (Baccalauréat Professionnel Commerce & Service : Section Création d’entreprise).
Faisant preuve de courage, il additionne les petits boulots de toutes sortes et continue de gribouiller quelques dessins à ses heures perdues, ici et là. Il expose plusieurs dessins de chats, dans un restaurent Place d’Armes à Metz.
Pris d’assaut par ce caractère tendu, il sombre un après-midi désabusé par un excès d’imagination. Il passe 2 semaines dans un centre psychiatrique pour y être soigné. Il peint son premier tableau.
Quand il rentre chez lui, il s’unit au dessin et à la peinture, amoindri par ce souvenir amical. Pour la première fois en ce lieu solitaire, il s’offre une parenthèse par ce divertissement. Parallèlement, il écrit des chansons et lui vient l’idée d’écrire un album. Il n’a pas de quoi chroniquer la mesure, il convient de surpasser ce souhait, qu’il soit ce manque à ses cotés.
Des lors, il partage le temps à dessiner, peindre, écrire, chanter, jouer de la guitare et n’en refuse pas les principes, ni la marge de si loin qui s’affole, ni le manque qui s’écarte lui aussi.
De sorte qu’il puisse y avoir un artiste sur le départ et pour privilégier son souhait d’être du résultat, il maintient les avantages de ceux qui se sont dispensés d’être sur le devant de la scène. En improvisant ses premières toiles, il fait ses premiers pas et retient par habitude ce service vacant qui l’illumine.
La peinture détourne son engagement à trouver du travail et lui donne une nouvelle chance de s’exprimer sur les bons conseils de son médecin. Il fait de cette découverte une nouvelle situation avec comme seule information la matière pour s’en amuser.
A l’écoute de son courage, il dessine seul, pendant un an et demi, une bande dessinée. Il est satisfait du résultat mais décide de ne pas l’éditer.
Embrassé par ce rêve qui l’assure d’être un artiste, il s’appuie sur les esquisses qui soignent cette prolongation. Il s’efface de la main verte qui le libère.
La vieillesse maintient ses choix, elle est sensible a son bonheur. C’est la peinture, la musique, l’écriture qui le maintiennent en vie. C’est elle qui s’éloigne en souvenir d’ici.
Il représente les personnages qu’il aime dessiner parfois comme tous ces traits que l’on devine. Il peint des dizaines de toiles abstraites aussi lointaines que lui reviennent toutes les estampes biens insufflées, parfois ce vent qui lui l’enchante et tous ses rêves biens installés.
Le temps gère à sa place cette ivresse retrouvée. Il s’emporte à l’écart et s’allonge a ses pieds. C’est en travaillant trois ou quatre heures par jour qu’il fait grandir son appréciation, soulageant sa lutte contre la déprime pour y vivre à l’abri.
D’autres toiles se succèdent sans prévenir, c’est la routine pour répéter, surmène-ment d’un grand sourire, un petit souffle bien gagné. La date est écrite sur son cœur ou le doute est gelé dans son esprit. Elle s’offre à son art et à sa culture.
Il expose deux toiles au Salon de la peinture 2014 à Hagondange. Le numéro à gagné, c’est chanté.
Rendez lui ce service, la prudence à troublé son esprit
Rendez lui ce service, sans la peinture, lui tous les jours il s’ennuie…